Ciné & arts visuels @ Le Devoir

1989
En tout cas, il y a quelque chose d’extrêmement drôle dans le fait de montrer un groupe de cinéphiles comme une gang de jeunes à la vie sexuelle (bisexuelle) aussi décomplexée, débridée, le réalisateur le sait. Et quelque chose d’assez lucide dans sa représentation de la misogynie inhérente à la cinéphile, puis de l’homosexualité dans le regard de grands réalisateurs français. C’était beau.